Une pétition pour défendre le fret ferroviaire, outil de transition écologique menacé par choix économique
A la rentrée 2022, plus de 1,1 million d’enfants sont scolarisés dans les 6 615 écoles de l’éducation prioritaire. Quarante ans après sa création, la politique d’éducation prioritaire a toujours pour objectif de corriger l’impact des inégalités sociales et économiques sur la réussite scolaire par un renforcement de l’action pédagogique et éducative dans les écoles et établissements des territoires qui rencontrent les plus grandes difficultés sociales. En 2014, de nouveaux principes, une nouvelle cartographie et des mesures spécifiques sont mises en place : scolarisation des moins de trois ans, plus de maitres que de classes, allègement du service d’enseignement pour dégager du temps de travail en équipe en REP+. Des mesures qui allaient dans le bon sens mais qui sans moyens à la hauteur n'ont pas pu atteindre leurs objectifs. Leur détricotage depuis l'élection d'Emmanuel Macron, avec notamment la création de classes dédoublées encadrés par des enseignant·es pris sur le dispositif PDMQC, a pu décourager les équipes, d'autant qu'il s'est accompagné d'une politique éducative très injonctive.
La circulaire de rentrée 2023 est parue. Le Ministère semble toujours aussi éloigné de la réalité du terrain.
En octobre 2022, environ 220 professeurs d’enseignement général de collège (PEGC) étaient encore en activité. Ce « corps » du second degré a un statut particulier hérité de l’histoire de l’école. Il est en « extinction » comme le dit la loi, c’est-à-dire voué à disparaître au fil des départs en retraite, mais ses personnels, actifs comme retraités, ont encore des droits à faire valoir. Le secteur collège de la FSU-SNUipp défend les conditions de travail des personnels actifs et les conditions de vie des PEGC retraités.
Les personnels titulaires remplaçants (TR) peuvent être mobilisés dès la première journée d’absence d’un·e enseignant·e pour le ou la remplacer. Les TR sont rattachés administrativement à une école et affectés soit dans une brigade départementale de remplacement (BD), soit sur une zone d’intervention localisée (ZIL). Ces personnels sont aux alentours de 25 000 aujourd’hui, un nombre encore bien insuffisant pour faire face aux besoins de remplacements.
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