La circulaire de rentrée 2024 est parue. Décryptage et analyse de la FSU-SNUipp
Classes transplantées : vie collective et apprentissages « hors les murs ».
Un colloque à Paris les 18 et 19 septembre 2023 pour reprendre la main sur notre métier !
Déjà plus de 15 000 réponses à l'enquête du SNUipp-FSU sur les rythmes
L'injonction aux "fondamentaux" met au second plan l'enseignement musical
Itv de Fabienne Maillard, sociologue et autrice de "La fabrique des diplômés"
Tour d’horizon des évolutions passées et à venir sur la protection sociale complémentaire…
La scolarisation des loisirs mêle les notions de loisir et d'éducation.
Qu’attendre de la réécriture des programmes des cycles 1 et 2 ?
A la rentrée 2022, plus de 1,1 million d’enfants sont scolarisés dans les 6 615 écoles de l’éducation prioritaire. Quarante ans après sa création, la politique d’éducation prioritaire a toujours pour objectif de corriger l’impact des inégalités sociales et économiques sur la réussite scolaire par un renforcement de l’action pédagogique et éducative dans les écoles et établissements des territoires qui rencontrent les plus grandes difficultés sociales. En 2014, de nouveaux principes, une nouvelle cartographie et des mesures spécifiques sont mises en place : scolarisation des moins de trois ans, plus de maitres que de classes, allègement du service d’enseignement pour dégager du temps de travail en équipe en REP+. Des mesures qui allaient dans le bon sens mais qui sans moyens à la hauteur n'ont pas pu atteindre leurs objectifs. Leur détricotage depuis l'élection d'Emmanuel Macron, avec notamment la création de classes dédoublées encadrés par des enseignant·es pris sur le dispositif PDMQC, a pu décourager les équipes, d'autant qu'il s'est accompagné d'une politique éducative très injonctive.
Fil d'actu
Des législatives à une rentrée offensive
| Expressions | 10.07.24
Toutes et tous mobilisé·es à la rentrée !
| Mobilisations | 27.06.24