Carte scolaire : mobilisations en cours !

Mis à jour le 14.02.22

18 min de lecture

De nombreuses mobilisations ont lieu dans les départements lors des opérations de carte scolaire. Le SNUipp-FSU et l'ensemble de la communauté éducative se mobilisent pour défendre les demandes d’ouverture ou de non fermeture de classe. Alors que les deux dernières années ont été des plus chaotiques pour la continuité scolaire, il est urgent de donner à l'école les moyens de fonctionner à plein !

01 - Les parents d’élèves, enfants, élus et enseignants de Val-Revermont expriment leur désarroi et se mobilisent suite à l’annonce faite par l’académie de Lyon. L'école a déjà subi une fermeture de classe en 2019 et une seconde en septembre 2021. Cette troisième fermeture aurait des conséquences graves sur les conditions d’apprentissage de tous les élèves de l’école. Malgré cette mobilisation, la menace de fermeture est toujours présente.

02 - Dans l'Ain, à Tergnier, la mobilisation a permis de sauver la classe d'élémentaire mais la classe de maternelle reste toujours menacée : la mobilisation continue donc... 

De nombreuses mobilisations ont lieu dans le département : à Bucy-lès-Pierrepont des parents ont bloqué l’accès de l’école, et les banderoles fleurissent à Saint-Paul-aux-Bois, La Fère, Saint-Quentin ou bien Origny-en-Thiérache (France 3 Hauts-de-France) !

02- L’annonce, la semaine dernière, de la fermeture d’une classe dans l’école communale a choqué les parents d’élèves, qui préparent une série d’actions, pour s’opposer. Les élèves de l’école André Malraux à Tergnier chantent pour sauver une classe

03 -  A Chassenard, l’annonce de la fermeture de classe s’est répandue à vitesse grand V et c’est main dans la main que municipalité et parents d’élèves ont décidé de se mobiliser. A Yzeure, la mobilisation continue également ! (La Montagne)

05 - A Gap, le maire a entamé un bras de faire avec les autorités académiques afin d'obtenir un moratoire sur les trois fermetures de classes prévues dans sa commune. Après BFM TV, le Dauphiné Libéré se fait l'écho de cette prise de position !
Le vote en contre de la carte scolaire lors du CTSD par les organisations syndicales a fait l'objet d'un reportage de BFM TV.

06 - Sospel, village de 3 800 âmes a réussi l'exploit de réunir plus de 2 000 signatures afin d'éviter la fermeture d'une classe de maternelle (Nice-Presse)

07 - En Ardèche, le Dauphiné Libéré fait état de la mobilisation à Annonay pour sauver la douzième classe de la plus grande école ardéchoise. 

09 - A Mirepoix l'annonce d'une fermeture de classe entraîne un bras de fer entre la DSDEN et le maire de la commune.

13 - A Martigues, on pouvait lire sur les cartons dessinés et brandis par les enfants « Non à la fermeture, touche pas à ma classe, non aux classes surchargées ». Passer de 5 classes à 4 pour l’école avec un effectif moyen de 27 élèves, pas question pour leurs parents qui se mobilisent.

14 - Ouest-France rapporte les nombreuses mobilisations de parents d'élèves dans le Calvados : à Honfleur se sera la 11ème fermeture en 11 ans. Les parents d'élèves et les municipalités se mobilisent également à Saint-Martin-de-Mieux et à Vire.

15 - « Mercredi, à midi, c’était l’effervescence devant l’école du centre-ville de Saint-Flour. Les parents s’étaient donné rendez-vous devant l’établissement pour protester contre la fermeture d’une classe à la rentrée prochaine. Pétition, flyers, pancartes et banderoles de mécontentement donnaient le ton de cette première mobilisation massive, qui en appelle d’autres. » (La Montagne )

Arpajon sur Cère - A la rentrée scolaire prochaine, la directrice des services départementaux de l’Éducation nationale envisage de fermer une classe de petite section. Les parents d’élèves du conseil d’école et les familles se sont fortement mobilisés à deux reprises

16 - La fusion des écoles de Barbezieux en Charente - et la fermeture à venir - mobilise les parents d'élèves (Sud Ouest)

19 - En Corèze, La Montagne relate la mobilisation de 130 personnes à Bort-les-Orgues pour la défense de l'une des trois classes de maternelle. A Brive-la-Gaillarde, les parents d'élèves protestent également suite à l'annonce d'une fermeture.

2B - Les parents d'élèves de Biguglia, sur l'île de Beauté, protestent contre la fermeture d'un poste, malgré une hausse des inscriptions d'élèves (Corse Matin). A Corte, la fermeture d'une classe à l'école Sandreschi inquiète les parents d'élèves qui mettent en avant les besoins spécifiques de cette école à la filière bilingue et au dispositif ULIS.

21 - « Un village qui s’agrandit et une école qui meurt ! », tel est le titre de l'article qui fait mention d'une fermeture de classe de la maternelle de Fleurey-sur-Ouche en Côte-d'Or.

A Baigneux-les-Juifs la défense de la classe de maternelle a rassemblé pas moins de 14 maires ainsi que de nombreux parents d'élèves. Pour alerter sur la possible fermeture d'une classe, à Pluvet, l'école est mise en vente sur le site d’annonces Leboncoin L'objectif : tenter de sauver une classe menacée de fermeture au sein du rassemblement pédagogique intercommunal de Soirans-Pluvet-Tréclun.

22 - A Plouézec, la fermeture d'une classe bilingue Breton-Français entrainerait une classe unique du CP au CM2. La mobilisation des élus et parents d'élèves est relatée dans Ouest-France . Le Télégramme fait également état des craintes locales pour l'avenir de la filière bilingue dans cette partie du département.

Bilingue - Photo OUEST FRANCE

(Photo OUEST-FRANCE)

A Lannion, la fermeture d'une classe à l'école Morand-Savidan provoque la mobilisation des parents d'élèves (Ouest-France). Ces derniers mettent en avant l'invisibilisation des élèves d'ULIS dans les calculs de l'administration : « Le calcul qui prévoit cette nouvelle fermeture ne prend en compte ni ces enfants de 2 ans, ni les douze élèves du dispositif Ulis, pourtant intégrés dans les autres classes tout au long de l’année ».  Preuve que la mobilisation paie, cette fermeture a été ensuite levée !
C'est en tout 6 fermetures qui sont prévues dans le Trégor. Interrogé par la presse locale, le SNUipp-FSU 22 réagit : « C’est d’un plan d’urgence dont l’école a besoin, pas d’une saignée dans notre département ». Pour toutes les Côtes-d'Armor, ce sont 33 fermetures et 11 ouvertures de prévues pour le moment (le Télégramme) Cela a donc entraîné le vote en contre par les organisations syndicales de ce projet de carte scolaire lors du CTSD du 3 février (Ouest-France). Plusieurs élu·es dénoncent également les diverses fermetures qui touchent le département. Les discussions et mobilisations

Dans l'attente de la fin de la carte scolaire, les mobilisations continuent, comme à Plouha, PlérinHénansal et Quintenic, d'autant plus que les discussions ont permis l'abandon de 6 fermetures prévues !

24 - A Lalinde en Dordogne, les parents se mobilisent pour éviter la fermeture de l'école entière ! Il en est de même à Champagnac-de-Belair... (Sud Ouest)

26 - « L’école publique de Marsanne est menacée par la fermeture d’une de ses quatre classes à la rentrée 2022. Un projet inacceptable pour les parents d’élèves qui montent au créneau. » (Le Dauphiné libéré ). Cette mobilisation fait suite à une première mobilisation des parents pour obtenir le remplacement d'une enseignante en arrêt maladie.

A Châteauneuf-de-Galaure, les parents d'élèves se mobilisent. Interrogés par le Dauphiné Libéré ils réagissent : « La situation actuelle de la crise sanitaire pèse déjà lourdement sur l'enseignement... ». A Saint-Paul-Trois-Châteaux, les parents ont également prévus plusieurs actions pour éviter la fermeture d'une des classes.

Ecole Loubet : pétition et rassemblement pour s’opposer à la fermeture d’une classe. A Saillans, un rassemblement a regroupé plus de 80 personnes devant l'école menacée (Le Dauphiné Libéré).

27 - L’inspection académique, en fusionnant l'école maternelle et élémentaire de Saint-Pierre-du-Vauvray a prévu de fermer une classe, augmentant ainsi la taille moyenne des classes. Une mère d'élève réagit ainsi : « C'est un peu rude. [...] Avec tout ce que l'on a déjà à gérer, l'inquiétude des parents autour de moi est palpable. »

A Loubet, la fusion des deux écoles et la suppression de deux postes entraîne la mobilisation des parents d'élèves (Paris-Normandie). La mobilisation continue également durant les vacances à Pont-Audemer.

28 - Dans l'Eure-et-Loire, à Bonneval ou Gault-Saint-Denis, les parents organisent des mobilisations pour éviter les fermetures annoncées par l'Inspection académique. France 3 Centre - Val de Loire se fait l'écho des 42 fermetures prévues dans le département !

L'Echo Républicain relate les différentes mobilisations comme à Dreux ou à Auneau-Bleury-Saint-Symphorien.

29 - Le Télégramme fait état de la mobilisation pour l'école Auguste-Dupouy à Penmarc’h ; les parents argumentent sur les mauvais chiffres utilisés par l'administration pour prononcer une fermeture !

D'autre mobilisations à Pleyber-Christ, Douarnenez ou au Trévoux sont également relatées par la presse locale.

Le compte est bon pour la rentrée, d’autant plus que la mairie a enregistré quatre nouvelles inscriptions.

30 - A Nîmes, l'annonce d'un fermeture dans une école du centre-ville provoque une vague d'indignation : « Comment imaginer supprimer une classe et donc un poste dans une école où tous les indicateurs sociaux sont supérieurs aux écoles classées en Rep +, où le quotient familial classe l’établissement dans les 10 écoles où il y a le plus de pauvreté de Nîmes, où nous accueillons nombre d’enfants suivis par l’Aide sociale à l’enfance (Ase) ?  » (Article du Midi Libre )
Saint-Dézéry : mobilisation contre la fermeture d'une classe. A Saint-Hippolyte-du-Fort les parents d'élèves se mobilisent pour les petits cigalois !
La Dépèche analyse la dotation départementale : « Syndicats, élus et parents d’élèves déplorent le manque de moyens qui a présidé à l’élaboration de la carte scolaire, ce qui a généré 15 fermetures de classes dans un département où les résultats scolaires sont parmi les plus mauvais d’Occitanie. »

31 - Toulouse : Après l'annonce de la fermeture de leur école, les parents d'élèves vont se mobiliser ! 20 minutes revient quant à lui sur la fermeture de la plus petite école de la cité rose. Le Journal Toulousain donne la parole longuement à l'analyse du SNUipp-FSU 31 sur les besoins en postes dans le département.

32 - Malgré une rencontre la veille entre la directrice académique des services de l’Éducation nationale (Dasen) et les représentants de parents d’élèves, le CTSD (comité technique spécial départemental) du 3 février a maintenu la décision de fermeture d’une classe à l’école Mandela-Croix-Chevalier (NR du 6 février).

34 - A Sètes, le vote contre la fusion de deux écoles (avec les suppressions de postes dûes au lissage des moyennes d'élèves) par les conseils d'école a permis de faire reculer le projet académique (Article Midi Libre).

36 - « Ils cassent le cercle vertueux ! », tel est le titre de l'article de la Nouvelle République qui relate la manifestation à Mers dans l'Indre. Au Poinçonnet, c'est France Bleue qui se fait l'écho de la mobilisation suite à l'annonce de deux fermetures dans la commune.

37 - « Les effectifs d’élèves, pour la rentrée 2022, ne diminuent pas, au contraire. Les conditions d’enseignement liées aux confinements et à la crise sanitaire sont difficiles depuis deux ans. », Jacky Périvier, le maire d’Yzeures-sur-Creuse ne décolère pas.
Une centaine d'enseignant·es a participé au rassemblement départemental à Tour le 19 janvier à l'appel du SNUipp-FSU 37.

38 - A Mistral, une rumeur de fermeture de classe pour la rentrée prochaine agite l’école primaire Anatole-France. Les parents s’inquiètent, et préparent une action destinée à sensibiliser la Direction départementale de l’Éducation nationale (Le Dauphiné Libéré ).

“Non à la fermeture de la classe maternelle de Villard-de-Lans. On n’est pas des sardines”

Depuis mardi dernier, le grillage de l’école des Laîches est le support de deux grands panneaux rouges avec ces inscriptions peintes en noir (Dauphiné Libéré).

39 - Le Progrès, fait état de la mobilisation à Morez et donne la parole à ce père : « On sait les difficultés de l’enseignement et, au lieu de créer des classes supplémentaires pour bien travailler avec les élèves (...), on fait le contraire, on en supprime ! ».

A Arinthod, les parents d’élèves de l’école primaire se mobilisent pour sauvegarder une classe (la Voix du Jura).

40 - Dans les Landes, l'association des parents d’élèves du RPI de Pujo-le-Plan et Saint-Cricq-Villeneuve exprime ses inquiétudes dans le quotidien Sud-Ouest. Leur action pétitionnaire est aussi relatée par France Bleu .

41 - Près de 150 personnes se sont rassemblées samedi 29 janvier 2022, devant la préfecture à Blois, contre les fermetures de classes annoncées à la rentrée en Loir-et-Cher. L'annonce de 22 fermetures de classes dans le département a mis en émoi un bon nombre d'élu·es, de parents d'élèves et d'enseignant·es. Le maire de Montrichard est dans l'expectative :  « L'Etat nous donne de l'argent pour développer notre attractivité et on nous ferme une classe ! ». A Vendôme, la mobilisation pour défendre l'école Anatole-France continue.
La carte scolaire fait réagir également les élu·es : l’association des maires de Loir-et-Cher et le conseil départemental se disent défavorables au projet de carte scolaire.

43 - Les inscriptions « Ne touche pas à mon école » et un énorme « NON » à l’entrée de l’école du bourg fleurissent à Saint-Jeures face à la menace d'une fermeture de classe sur les quatre de l'école publique.

Afin de protester contre le risque de fermeture d'une classe, les parents d'élèves et des villageois bloquent ce lundi matin les deux écoles, dans le bourg et à "Freycenet".

44 - En Loire-Atlantique, près de Nantes, à Mouzillon, craignant la fermeture d'une classe, des parents lancent une pétition pour défendre une classe de l'école publique de La Sanguèze.

47 - Nérac : informés d’une éventuelle fermeture de classe à l’école Marie Curie, les représentants des parents d’élèves et de la FCPE se sont mobilisés pour protester.

48 - A Langogne, c'est la mobilisation générale contre une fermeture de classe maternelle selon le Midi-Libre.

49 - « Fermer 64 classes est d’une grande violence » : ainsi titre Ouest France dans son article faisant état de la mobilisation des parents d'élèves à l'occasion du CDEN du Maine-et-Loire.

La directrice de l’école Les Colibris de Contigné a été informée le mardi 25 janvier que la classe de CP était susceptible de fermer à la rentrée 2022. Cette fermeture a été actée le vendredi 28 janvier.

50 - L’information a été révélée par les organisations syndicales et la presse la semaine dernière : 30 classes dans la Manche devraient fermer en septembre 2022. Le RPI Tourville-Heugueville-Bricqueville est concerné. Dimanche 30 janvier, une vingtaine de parents se sont mobilisés devant l’école.

A Saint-Lo, suite au CDEN du 3 février, Ouest-France fait état des communiqués syndicaux, alors que la Manche-Libre revient sur les 30 fermetures annoncées dans l'ensemble du département.

54 - L'Est-Républicain fait état des mobilisations à Vandœuvre-lès-Nancy, mais également à Maixe et Deuxville. Le Républicain lorrain donne lui la parole au SNUipp-FSU 54 pour sa analyse de la situation des écoles de Lorraine et du bassin de Longwy.

56 - Le Morbihan connait des mobilisations relatées par Le Télégramme comme à Pluvigner, Branderion ou Plouhinec. Le quotidien Ouest-France revient sur le vote en contre du projet de carte scolaire par le SNUipp-FSU 56 :  « Lors de ce comité, le Dasen a fait évoluer favorablement la situation de trois écoles parmi celles que nous avions portées, mais cela reste insuffisant ! »

57 - Le scénario se répète du côté du regroupement pédagogique intercommunal de Montenach, Rustroff et Kirsch. En effet, comme en 2019, une classe est menacée de fermeture en élémentaire. Les maires ont adressé un courrier à l’académie pour s’y opposer (Le Républicain lorrain)

58 - A Châteauneuf-Val-de-Bargis, les parents d'élèves sont mobilisés contre la fermeture de classe à la rentrée . Une affiche posée sur la grille de l’école « Non à la fermeture de classe » interpelle les villageois depuis quelques jours et une pétition rassemble plusieurs centaines de signatures (Le Journal du Centre).

59 - L'Observateur et la Voix du Nord relatent les mobilisations contre la fermeture d'une classe à Somain. Cette fermeture entraînerait la suspension dès l'année prochaine de l'accueil des Tous Petits (moins de 3 ans).

A Bruay, les parents mécontents sont reçus à l'Inspection et continuent leur actions pour empêcher la fermeture d'une classe. Des mobilisations ont également lieu à Borre et à Flines-lez-Râches.

24 fermetures et 11 ouvertures !

60 - La première balance du Comité Technique Spécial Départemental (CTSD) de l'Oise fait état de 24 fermetures et 11 ouvertures fait « déjà grincer des dents » selon Le Courrier Picard .

62 - Alors qu’une fermeture de classe serait prévue à la rentrée de septembre à l’école Daudet-Perrault de Guarbecque, les parents et les élèves se sont réunis ce dimanche matin pour tenter d’inverser la tendance. 
Les maires du Boulonnais réagissent aux 6 fermetures annoncées. C’est en effet à Boulogne, Isques, Saint-Martin-Boulogne, Wimille et à Outreau que des classes seront fermées à la rentrée (La Voix du Nord).

63 - La Montagne ressence les mobilisations face à la carte scolaire pour les écoles du Livradois-Forez.

Les élu·es et les parents d'élèves ont lancé une pétition en ligne contre la fermeture du RPI Brousse - Saint-Jean-des-Ollières - Sugères. « NON à la FERMETURE de MA classe à l'école de VOLLORE-VILLE ! » : Les parents d'élèves lancent une pétition pour défendre l'école communale.

« Salle de classe très lumineuse, exposition plein sud […] mais l'an prochain, elle sera fermée »

Cette annonce sur le bon coin a été faite par le collectif de défense de Condat-en-Combrailles, suite à l'annonce de la fermeture de la seule classe du village regroupé en RPI (France 3).

En instances, l'ensemble des organisations syndicales ont rejeté la carte scolaire du Puy-de-Dôme qui prévoit 32 fermetures de classes et 25 ouvertures de classes (La Montagne).

64 - Devant un projet de carte scolaire 2022 annonçant 24,5 fermetures et 16,5 ouvertures, la FSU-SNUipp 64 critique cette version provisoire qui ne répond pas aux besoins de « recrutement massif » d’enseignants et d'un « un plan d’urgence » pour l’école (La Rép des Pyrénées). Les parents d’élèves protestent contre l’annonce de la suppression de deux demi-postes d’enseignants, en français et en basque.

Ces mobilisations ont connu leur point d'orgue avec une mobilisation de 200 personnes à Oloron pour dénoncer les fermetures en Haut-Béarn.

65 - La Nouvelle République des Pyrénées titre : « A coups de tracteurs et de pancartes, les habitants de Gavarnie-Gèdre se mobilisent pour sauver leur école communale ».

66 - Le 7 février, des parents d’élèves et des élus se sont rassemblés devant l’école : ils refusent une décision de l’inspection académique qui envisage de fermer une classe. Un choix qui doit être entériné ce jeudi.

67 -  Banderoles, pétition… La mobilisation bat son plein à Still où l’école Robert Schuman devrait être amputée d’une classe à la rentrée prochaine. Les prévisions d’effectif étant de 91 élèves. Bien inférieures au seuil de fermeture de classe qui est de 104 élèves.

68 - A Urbès, les parents et les élus se sont mobilisés contre une fermeture de classe (L'Alsace).

70 -  Un rassemblement a eu lieu, ce lundi 7 février en tout début d’après-midi, devant le siège de la communauté de communes du Val marnaysien (CCVM). Le lieu et l’horaire n’avaient pas été choisis au hasard, car c’est ici que l’inspectrice d’académie était attendue, dans la foulée, par les élus locaux.

71 - Dans le Tournugeois, le RPI de Préty-Lacrost et l’école Charles-Dard Jean-Galopin à Tournus pourraient perdre une classe, ce qui fait réagir les élus (Le Journal de Saône-et-Loire).

72 - Enseignants, parents d'élèves et élus de Degré (Sarthe) refusent la proposition de fermeture de classe faite le 17 janvier dernier par l'Inspection académique. A Chenu-Saint-Germain d'Arcé, la fermeture de classe est annulée : la mobilisation a payé.

76 - Après quatre jours de mobilisations devant la mairie de Lillebonne et bien des protestations, leurs enfants resteront bien ensemble l’an prochain. « Ça a payé, nous sommes soulagés, contents », confirme Ayse, représentante des parents d’élèves.

A Callengeville, les parents et élus craignent la mort du village avec la disparition d'une classe.

Au pont Ango de Dieppe (Seine-Maritime), 130 manifestants se sont rassemblés samedi 29 janvier 2022 face à des fermetures de classes et une augmentation d'effectif en Ulis.

79 - Seule école publique des environs, l'école Paul-Martin, à Mauléon, se mobilise contre une éventuelle fermeture de classe qui pourrait être confirmée le mardi 8 février.

80 - Les parents d'élèves ont organisé une journée école morte à l'école de Sailly-Flibeaucourt, près d'Abbeville pour dénoncer la menace de fermeture d'une classe à la prochaine rentrée. A Rue, les élus munipaux se sont adressé à la DSDEN.

81 - Comme avant l'épidémie de Covid-19, les fermetures de classe reprennent dans le Tarn. Syndicats et parents ont prévu de manifester à Albi lundi 7 février 2022. A Ambres, la fermeture d'une classe provoque l'émoi de la communauté éducative.

82 - A Monteils, les parents d'élèves, craignant une fermeture de classe, ont organisé une pétition. Selon La Dépêche, une fermeture entraînerait des triples niveaux et des moyennes autour de 30 élèves...

La nouvelle carte scolaire est connue depuis peu et la mauvaise nouvelle pour l’école maternelle Les Écureuils, à Nègrepelisse, c’est qu’elle fait partie des 19 classes du département susceptibles d’être fermées.

86Parents d'élèves et élus ont manifesté devant l'école de La Chapelle- Viviers pour s'opposer à l'éventuelle fermeture d'une classe. A Montmorillon, ce sont deux classes qui sont menacées.

Depuis quelques jours élus et parents d'élèves de Vienne et Deux-Sèvres se mobilisent pour sauver leurs classes pour la rentrée prochaine.

87 - France 3 Nouvelle Aquitaine se fait l'écho de la mobilisation des parents d'élèves, habitants et élus pour leur école à Chamboret et Vaulry.

89 - Dans l'Yonne, un rassemblement a eu lieu devant la DSDEN. Le département devra faire l'année prochaine avec 4 postes en moins dans le 1er degré.